Un transfère de poste...

Le ciel était bleu et dégagé, un bâtiment blanc transperçait le ciel azuré par sa tour de couleur ivoire, en haut de cette tour se trouvait une personne, cette personne c'était moi... Je me tenais dos à la rambarde, ma main gauche fouillait ma poche de mon pantalon du même côté, je sortais un petit paquet, il était un peu usé, sans doute à cause des frottements dans la poche à force de marcher, mais ce qu'il contenait semblé intacte, car un sourire se dessina sur mon visage et ma deuxième s'approcha du paquet, je retirais un tube blanc et je la mettais dans ma bouche. Maintenant un briquet s'approcha de ma cigarette, une braise incandescente s'illumina pendant une seconde puis je soufflais un panache de fumée dans le ciel. Je me retournais vers le panorama, la mer était devant mes yeux, indomptable et aussi dangereuse que dans les légendes, ses vagues se fracassaient contre les rochers non loin de la tour d'observation et je regardais cette force voulant détruire cette pierre si peu impressionnable par les autres éléments.

«Bientôt, je reprendrais la mer.....je me demande avec quelque capitaine je serais....»

J'avais des grandes suspicions sur mon futur capitaine, je me demandais si j'allais tomber sur l'un des corrompus de la marine ou bien un capitaine au même idéaux que moi, mais comment le savoir sans l'avoir vu en préalable, je ne pouvais plus qu'attendre l'échéance de notre rencontre. La dernière barre de cendre tomba sur le sol de pierre de la tour et d'un geste le vent balaya la cendre en la dispersant dans le ciel, mais moi je me trouvais déjà entrain de marcher d'un pas nonchalant vers la porte. J'ouvrais la porte de fer avec un bruit de grincement, le bas de la porte frottait le sol et avait fini par creuser une petite rainure dans la pierre. Une fois la porte ouverte je pouvais enfin descendre les escaliers en colimaçon, je descendais toujours avec un visage plutôt inexpressif....

D'ailleurs je rencontrais un jeune matelot au détournement d'un couloir, deux mètres avant de le croiser il se plaqua le dos sur le mur et se mit au garde à vous, sentant une tension dans l'air je levais la tête pour apercevoir le jeune homme qui se tenait droit comme un piqué, je détournais mon regard pour le regarder bien en face. Je parlais avec une froideur implacable, il avait du comprendre que je ne rigolais pas car en seconde un frisson le parcourait.

«Numéro et matricule?»

Le jeune homme répondait avec une vitesse excellente et une netteté implacable, alors je lui répondais qu'il pouvait rompé et repartir à ses activités de nettoyage. Puis je partais sans faire attention à ce qui se trouvait sur mon passage jusqu'à la porte principal, un garde se mettait à nouveau au garde à vous avant de m'ouvrir la porte puis je traversais enfin le mur d'enceinte pour atteindre un port au se trouvait de nombreux bateaux de la marine ainsi que des petits navires de pêche. Je m'approchais du ponton pour voir l'eau dansait et se casser sur les pilonnes de bois. Je me demandais combien de temps passerait avant qu'un nouveau bateau de la marine se profil à l'horizon. Un nouveau navire, sans doute avec mon nouveau capitaine....Maintenant je me couchais sur le ponton avec comme appuie tête un amarre, je pouvais laisser dériver mon esprit aux nuances des rêves..

Mon rêve était sans grande merveille, la mer et encore une étedue blueu se profilaient dans mes songes, je me sentais bien dans se rêve, la joie et la pai me gagnaient, puis une sensation, un frisson me parcourait l'échine. Ma mer bleue et limpide devenait de plus en plus sombre et surtout les flots si calme commençait à se déchainer, le ciel bleue disparaissait au-dessus d'un océan de nuage grisatre, ces nuages venaient de la direction de Grande Line. Un éclair déchira le ciel. Une lumiére vive, mes yeux s'ouvraient enfin à la réalité. Le ciel était denouveau bleu, mon rêve se dissipait au chant des mouettes et les bruits de pas sur le ponton terminaient de me sortir de ma torpeur. Ma main droite se posa sur ma bouche , puis je métirais en baillant avant de décider de me lever pour allermanger quelque chose au village du coin.

Je pouvais partir les main dans les poches pour un bon petit repas, je traversais le port puis le une grande partit du village avec lenteur, mais sans me faire remarquer, les villageois étaient plutôt habitués au militaire de la marine, cela fait des années que le quartier général fut conbstruit en ces lieux. Aprés avoir traversé le marché du village, j'arrivais enfin à mon restaurant préféré, il se nommait: "la mouette noire", le gérant était un homme de haute taille, bien batit et d'une force incroyable, il parait qu'il était le meilleur canonier de tout East Blue. Quand je rentrai chez lui, il se tourna vers moi, puis un sourire traversa son visage, nous étions devenus plus proche qu'auparavant, car j'avais soigné sa fille d'un grippe réccurrante. D'ailleur le chef venait spécialment à ma table pour savoir ce que je désirais:

"Salut doc'!! cela fait deux jours que je t'avais plus vue et je commençais à croire que tu avais reprit la mer sans être venue me dire en revoir à moi et à ma fille...sinon tu veux quoi comme bouffe?"

Je le regardais avec un sourire d'excuse, il est vrai que pendant deux jours je pensais que mon nouveau poste me serrait donné, mais se n'était pas le cas alors j'étais revenu dans ce restaurat pour ne pas rester seul au quartier général. La base se trouvait souvent sans grand mouvement, aprés tout on se trouvait dans la mer la plus calme, alors je venais souvent dans ce resto pour les bagarres du soir et la companie du tenancier.

"Je vais prendre une tranche de jambon grillé au feu et une bonne chope de rhum!!"

Le patron me regarda avec un petit regard pendant que je lui disais ma commande, puis il dit simplement une chose en repartant, "comme d'hab'!!". Je savais qu'il était content de me voir même si mon immagination en matière de plat était médiocre, puis il apporta mon plat.

Pendant que je mangeais à ma faim et que mon estomac se remplissait goulûment, un personne se posa devant moi, je continuais malgré tout à manger sans lever la tête, mais la personne restait sur place et comme je me sentais fixé je décidais de lever ma tête de mon assiette... Ma surprise et mon gène fut total, c'était la jeune fille du patron du restaurant , Karya, je m'étais pas attendu qu'elle soit déjà sur pied. En voyant ma tête d'ahuri elle se mettait à rire aux éclats, son rire était doux et clair comme le chant du cristal, et maintenant que la pâleur de la mort c'était éloigné son visage semblait radieux et presque angélique, je me disais que j'avais bien fait de la soigner gratuitement et que cela aurait été dommage de la laisser partir dans un autres monde alors que le notre avait tellement besoin de beauté et de rêve, elle tourna la tête, sa chevelure blonde vola dans les airs tels un voile d'or, ses yeux étaient d'un bleu limpide, moi qui était un amoureux des océans je restais collé à son regard, en elle je pouvais voir que la mer me manquait plus que tout.

Un bruit me fesait détourner de la splendeur féminine, mon visage se refroidissait quand mes yeux quittèrent son visage. Deux hommes ou plutôt deux colosses venaient d'entrer dans le restaurant. Le silence frappa la salle, je savais que le silence qui régnait en ce lieu n'était pas un silence de peur, car je connaissais tout ces pêcheurs, certains étaient d'anciens pirates, ils attendaient un seul geste pour se lancer dans une baston général, d'ailleurs cela pouvait se voir à leur sourire d'excité. La fille du patron se leva et je comprenais son intention, alors je lui attrapais la main avant qu'elle soit hors de portée, elle fut surpris puis son visage se tourna vers moi avec un sourire, alors je la lâchais, mais je lui disais avant:

« soit prudente, ils ne semblent pas très intelligents!!»

Elle me frôla la main avant de partir, je la suivais du regard, je restais au aguets en cas d'attaque et qu'elle était pas prête à pouvoir s'enfuir... elle les accueilli avec son sourire de petit ange, eux par contre avaient des sourires de sadique, ce qui me fit serrer les dents. D'ailleurs l'un des deux essaya de prendre Karya par le bras et vu son mouvement il semblait que le choc serait violent...

«Quoi!! Ils sont de la Marine?!!»

Je venais de remarquer le symbole de la marine tatoué sur le bras des colosse avec un numéro en dessous, sans doute celui de leur Unité. Il fallait que j'agissais avant que les pêcheurs se lançaient sur eux, car sinon il recevront les foudre des militaires. En une fraction de seconde j'avais disparus de ma place, je me trouvais déjà à mi-chemin , je m'appuyais sur une table du centre de la pièce qui explosa sous le choc de mon élan sur elle. Mon bras droit se tendait vers l'extérieur à 90° par rapport à mon buste. Après avoir sauté de la table qui fut réduit en poussière, je retombais sur le premier colosse qui essayait de capturer la jeune fille. Mon bras s'écrasa comme un étau sur son cou, je criais en même temps le nom de ma technique,Explosion of the Backbone, mon biceps broya son cou en le fesant retombé en arrière en même temps à cause mon élan.
Je me redressais et je tournais légèrement la tête vers le deuxième, et je disais:

«Je suis le commodore de la marine Allen Walker!! retourner immédiatement à vos quartier avant que je termine de vous massacrer!! Et n'oublie pas d'emporter ton pote avec toi!!»