Barbe à Papa & Pomme d'Amour__#

La fête foraine, lieux de jeux et de sensations fortes. C’était un endroit à la basse fait pour donner envie aux gens de venir s’amuser dans un endroit à découvert ou ils pourraient montrer leurs divers talents, que ce soit de la précision ou bien la fore en passant par l’agilité. Malheureusement l’île d’Omatsuri n’était pas aussi protégé que ça des malfaiteurs et des petits loubars car, ceux-ci, ayant créé une petite bande de voyou avait prit comme base la dite fête foraine … Au fond de celle-ci ou sont entreposées les machines qui servaient à connaître sa force, malheureusement la leur n’était pas très développé par rapport à certains pirates ou soldats parcourant la ville mais heureusement pour cette petite bande de voyou, jamais ils n’avaient eu à faire à ce genre de personne. Puisse t’ils ne jamais tomber sur eux. Pour le moment aucuns accidents grave n’a été déploré sur l’île dite secrète et c’était une bonne chose car la vie y était encore plus agréable pour les voyageurs de tout ordre. La soirée n’était pas encore la mais elle ne serait tarder, dans une ou deux heures mais pas plus, la ville serait illuminé par les spots de la fête foraine et la vie nocturne débuterait, boissons et musiques à gogo.

Almárean marchait d’un pas rapide, il n’avait pas beaucoup de temps et il n’aimait pas faire attendre. Et oui il n’était pas tout seul, un peu plus tôt dans la journée il avait rencontré deux personnes sans le vouloir. Le premier était un pirate, il s’était présenté ainsi et il ne pouvait que croire en sa parole. Cet homme présenté sous les pseudonymes Makoiyo Hibari avait but un alcool un peu trop fort pour lui … Un cocktail portant le nom de « sous marin » il était fortement alcoolisé et qui pouvait donner des hallucinations … Hibari n’avait pas échappé à ces effets et il avait découvert un monde ou les hommes étaient des poissons … Almárean était devenu un poulpe à cause de ses longs cheveux et le barman une baleine. Effets plutôt désagréable … Heureusement pour lui, l’écrivain connaissait le remède mais manque de chance, il n’avait pas assez pour acheter ce dit … remède. C’est la qu’il rencontra le seconde personne. Une jeune femme des plus … ravissante ? Nommé Arashi Shizuka, elle était simplement installé sur sa chaise longue … profitant du soleil et de son cocktail … Cocktail qui était le remède ! Avec gentillesse elle donna son verre pour aider l’autre homme qui était en train de regarder le ciel à la recherche de sirènes. Finalement l’homme but le remède et tout redevint normale. Tous les trois passèrent un moment à discuter ensemble, Almárean se présentant comme un écrivain et non comme un pirate.

Au bout de quelques verres ils décidèrent de se rendre au parc d’attraction, l’homme devait encore évacuer l’alcool dans son sang et les efforts étaient une bonne chose d’après Almárean. Ils se rendirent donc tout trois dans cet endroit mais avant ils firent un petit détour de deux minutes pour que l’écrivain aille chercher son argent … Oui il n’avait pas pensé qu’il y aurait autant de dépense dans la journée. C’est ainsi qu’il se dépêcher pour vite rejoindre ses nouvelles connaissances. Vingt quatre marches … Quatorze pas et un main qui pousse la porte et le voila de nouveau à l’extérieur.

« Excusez moi … On peu y aller »

Ils se remirent à marcher, chacun parlant l’un après l’autre bien que dans les faits, Arashi n’était pas des plus bavarde, oui elle parlait mais pour Almárean, ce n’était pas beaucoup par rapport à Hibari. En quelques minutes ils se trouvèrent devant la grande porte ouverte, les festivités avaient déjà débutés, l’ambiance était des plus festive. Le grand huit marchait à plein régime et les cris étaient bien présents au plus grand déplaisir des passagers. Comme un gamin Almárean regardait dans tout les sens, durant son enfance il n’en avait pas beaucoup vu … Même durant sa vie … Alors une fête pareil il ne pouvait pas s’empêcher de rêver de toutes ses attractions. Il se retourna vers ses deux compagnons pour leurs proposer différentes activités.

« Grand Huit ? Tire à la carabine ? Ou bien barbe à papa ? »

Sans vraiment savoir comment, elle se retrouvait entourée de deux hommes dont elle venait à peine de faire la connaissance. L’un était grand et élancé, il avait les cheveux longs et blancs. A son front, on pouvait y voir un bijou, ce qui intriguait énormément la jeune femme. C’était un écrivain. L’autre, quand à lui, était un pirate. Il était brun et grand, musclé sans trop de gonflette. C’était lui qui était complètement grisé et avec Almarean, elle l’avait aidé à aller mieux. Il avait vu… des poissons ! Il en était lui-même un… C’est dire son état après avoir bu un verre déconseillé aux êtres humains.

Elle avait été rejointe par eux au bord de la piscine alors qu’elle laissait ses petits pieds clapoter dans l’eau. Ils avaient discutés des écrits d’Almarean, des aventures d’Hibari et de la vie de la jeune fille. Shizuka ne leur avait pas dit qu’elle était pirate, enfin elle aurait très bien pu le faire, mais elle s’était demandé ce qu’ils en penseraient. Non pas qu’elle en avait honte, au contraire elle était fière de faire partie de l’équipage du Lieutenant de Barbe Blanche, mais elle s’était dit que si elle ne voulait pas se faire repérer c’était mieux ainsi.

Hibari avait décidé que tout les trois iraient à la fête foraine, bon grés mal grés, Shizuka avait acceptée. Entre temps, ils avaient dû s’arrêter au lieu où logeait l’écrivain pour qu’il récupère son argent. La jeune femme s’était dit qu’elle aurait dû faire la même chose, mais elle ne comptait pas spécialement dépenser, il lui restait tout de même un peu pour subvenir à ses besoins. Les voilà donc en route vers le parc d’attraction. Pendant le trajet il y avait un roulement, chacun conversait à son tour. La jeune femme allait à l’essentiel et se dit qu’elle aurait pu fournir un effort pour parler comme Hibari… Non, en réalité c’était bien, elle laissait une part de mystère autour d’elle et n’appréciait pas plus que ça les longs discours. Après des discussions animées, ils se trouvèrent à l’entrée de la fête. On pouvait y voir les plus hautes attractions : la grande roue et les montagnes russes.

La jeune fille laissa son esprit vagabonder un instant, comme pour se souvenir d’un passé qu’elle aimerait parfois rattraper. Elle ne courrait pas spécialement après, mais elle ne pouvait l’effacer… ça lui rappela son frère. Etait-il encore vivant ? Voyait-il le monde comme elle le voit aujourd’hui ? Elle l’espérait sincèrement. Elle fit un sourire franc, on pouvait même dire qu’il était resplendissant et différent de ceux qu’elle utilisait d’habitude, cette pensée d’elle et son frère courant main dans la main pour s’amuser dans les différentes attractions lui semblait à la fois lointaine et proche de cette soirée. Elle tourna la tête et vit des enfants courir et s’amuser. Ce lieu était un endroit qui lui plaisait et elle allait profiter pour deux.

Almarean était surexcité, il regardait de partout comme un petit enfant de six ans à qui on fait découvrir pour la première fois un monde à la fois merveilleux et somptueux. Il s’était à présent tourné vers Hibari et elle-même. Sur ses lèvres on pouvait y lire un bonheur ineffable. Il ne savait que choisir et leur demanda par quoi ils voulaient commencer. Shizuka observa autour d’elle, elle n’avait pas de préférence, tout était bon à essayer.

Son regard se posa sur une affiche, il annonçait un feu d’artifice à minuit pile à niveau de la grande roue, qui s’arrêtera de fonctionner le temps que le feu se fasse. Elle avait envie d’y aller, ce serait après quelques attractions.

- C’est comme vous voulez, j’aime tout dans les fêtes foraines. Sans compter que tu me dois un cocktail après tout !

Emmenés par un Almerean joyeux comme un drille, les trois néo-compagnon se dirigèrent vers la fameuse fête foraine d’Omatsuri. Ils effectuèrent un petit détour vers l’hôtel dans lequel l’écrivain était descendu. Une fois les poches pleines d’argent ou au moins d’objets de métal faisant « chling-chling » quand il marchait de sa démarche toujours aussi joyeuse. Il sautait joyeusement au lieu de marcher, ce qui faisait que ses cheveux dessinait des arabesques dans les airs. Il affichait un sourire naïf et heureux de l’être comme un enfant de six ans…et il faut bien dire que cet état heureux était communicatif, un léger sourire sur dessinant sur le visage de Makoiyo.

Au bout de dix minutes, ils arrivèrent devant l’entrée de la fête foraine. Et à c’est le drame.

Almerean avait tout simplement triplé sa vitesse de marche, passant d’un stand à l’autre avec une seule parole à la bouche: « On fait ça, hein?On fait ça? ». Le pirate crus bien qu’il avais fait plusieurs fois le tour du complexe en quelques secondes.

-Grand huit? Tir à la carabine? Ou bien barbe à papa? Demanda-t-il enfin devant Makoiyo et Arashi. Cette dernière répondit d’ailleurs qu’elle n’avait pas de préférence particulière excepté le cocktail que l’écrivain lui devait. Se tournant vers Makoiyo, ils lui demandèrent muettement ce qu’il préférait:

- Pourquoi pas « Le Grand Elasticator »?

Il s’agissait d’une attraction assez simple basé sur le modèle du jokari…Sauf que la balle était remplacé par de multiples navette pour cinq personne! En gros, un petit coup de raquette mécanique puis sa partait dans tous les sens, valait mieux ne pas avoir mangé juste avant.

-Après on pourrais se reposer dans un snack puis un tir à la carabine sur insecte géant ou peut-être un bras de fer contre cyborg? Comme vous le sentez.

(désolé du petit post mais je préfère avoir vos réponses avant de décrire plein de truc)

La fête foraine … Tout ces bruits, ces lumières, cette agitation, bon sang, qu’Est-ce qu’il aimait ça l’écrivain qui d’habitude était calme, mais la, c’était une toute autre histoire, il se sentait revenir dans son enfance insouciante, qu’il aimait ça, c’était une nouvelle sensation pour lui. Et ses deux compagnons l’avaient bien remarqué… son retour en enfance. Quand il leur demanda se qu’ils désiraient faire, Arashi se contenta de dire qu’elle n’avait pas de préférence, aimant toutes les attractions proposées. Un léger sourire apparut sur son visage quand le mot cocktail réapparut dans la bouche de la jeune femme, oui il lui en devait un et il s’en acquitterait pendant cette soirée de festivité. Surement plus tard dans la soirée.

« Pas d’inquiétudes, je ne t’oublis pas ! »

Il se retourna, regardant les différentes activités à dispositions. Tire à la carabine, lancé de précision, pêche aux canards, tests de forces, grand huit et bien d’autres encore. Beaucoup d’attraction à fortes sensations, à bien y regarder, ça devait faire un drôle d’effet au niveau du ventre, ça lui tarder d’en tester un voir même plusieurs si sa condition physique la lui permettait après le premier passage.
Hibari proposa une attraction qui sonnait très bien aux oreilles de l’écrivain « Le grand Elasticator » Ca devait être une attraction ou l’on partait dans tous les sens, la tête en bas puis la tête en haut, perdant une partie de son petit déjeuné en cours de route, n’était ce pas excitant comme attraction ? La suite était tout aussi intéressante, tire à la carabine et bras de fer contre un cyborg, bien qu’Almárean ne se pensait pas assez fort, il tenterait bien sa chance face à cette machine de fer ! Et puis le snack … Une glace à la fraise ne serait pas superflue ! Ou quelque chose de sucré lui ferait du bien !

« Allons au Grand Elasticator ! »

Ses yeux avaient étaient remplacés par des étoiles brillantes, le mot lui plaisait bien et ça lui donnait une envie de s’envoyer en l’air avec cette machine ! Des yeux il chercha cette dite machine et les cris de gens se faisant balancer dans tous les sens lui mit la puce à l’oreille. Il prit donc la première place du convois pour les mener à leur première attraction. La machine était vraiment spectaculaire et les pirouettes qu’ils allaient effectuer étaient tout bonnement … Spectaculaires.

« Ouah ! »

La jeune femme regardait Almarean et avait une soudaine impression d’être une mère de famille faisant découvrir à son fils les joies des fêtes foraines. Elle jeta un coup d’œil à Makoiyo lorsqu’il proposa de faire une attraction qu’elle n’avait jamais eu l’occasion de faire jusqu’à présent. Le grand Elasticator hein ? Ça promettait d’être riche en sensation forte. Soit, elle adorait ce genre de chose qui la faisait se sentir en vie. Puis il proposa qu’après avoir été faire ce manège ils pourraient se reposer dans un snack et faire d’autres activités. Almarean approuva pour tous et commença à chercher la machine des yeux, lorsqu’il la trouva il partit en tête de file pour garder des places aux deux autres. La jeune femme regarda à nouveau Hibari et lui fit un petit sourire comme pour signifier qu’il était amusant de voir un adulte être autant enthousiaste et agir comme s’il avait six ans.

Tout deux s’avancèrent dans la file pour rejoindre l’écrivain. Elle souriait et regarda avec ses beaux yeux noisette les deux hommes.

- Je pensais qu’on pourrait aussi aller au feu d’artifice au niveau de la grande roue quand il sera minuit. Enfin ce n’est juste qu’une proposition ! Mais sinon ce que tu nous propose à l'air bien sympathique aussi Hibari-san.

Shizuka attendait une réaction de leur part, après tout ça pouvait être sympa de voir un feu d’artifice. Ses yeux brillait de bonheur tant elle appréciait d’être présente à cette fête avec eux. Ils s’avançaient dans la file au fur et à mesure, ils allaient bientôt entrer dans une navette de l’Elasticator. Plus ils s'approchaient et plus elle se demandait si elle faisait bien d'y aller... Elle était une pirate après tout, de quoi elle pouvait avoir peur. Elle regardait la structure métallique de la machine, les gens hurlaient et rigolaient, d'autres pleuraient et demandaient à ce qu'on les fasse descendre de cette machine infernale. La jeune femme se mit droite et jetta un coup d'oeil aux personnes devant eux. Ils avaient l'air aussi tendus qu'elle. Elle s'imagina à nouveau avec son frère dans une attraction comme celle là et pensa qu'il l'aurait peut être prise dans ses bras pour lui donner du courage en supplément. Non pas qu'elle en manquait, mais un surplus était toujour bon à prendre.

- Vous êtes prêts à monter dans la navette de l'Elasticator ??

En disant cela, elle voulait savoir si, comme elle, ils avaient une appréhension.

« Gloup » Fut la seule réponse de Makoiyo Hibari. Il sentit le cocktail vouloir remonter le long de sa gorge mais il finit par sagement lui barbouiller l’estomac. En faits il n’était pas très fan de ces attractions. Non pas qu’il en avait une peur terrible du vide mais plutôt que l’impression d’être en chute libre et ainsi d’avoir l’impression de ne rien contrôler l’asticotait au plus haut point.
Après tout, si tu contrôles pas, c’est le désordre. Si c’est le désordre,c’est le chaos. Et le chaos faut le battre à mort. Voilà, c’était ça le barbouilli dans son ventre (autres que les cocktail), il sentait monter une colère immense en lui. Si ça continuait les « bras de fer cyborg » risquait bien de le voir se défouler sur eux. Pendant qu’il se livrait à cette petite inspection de ses états d’âme, il entendit un « Ho! ». Ne sachant qui avait prononcé ce « Ho », il suivit la direction du bras et regarda en l’air (alors qu’il aurait été plus simple de suivre le bras jusqu’au visage de son propriétaire mais il était trop énervé pour le remarquer sur le moment). Au loin il vit un petit point noir flotter dans les airs. Levant un sourcil d’incompréhension, il attendit tranquillement que le « truc noir » se rapproche car il n’était pas en train de flotter, il tombait!

-Peut-être quelqu’un? Proposât-il

Mais on lui répondit par la négative, l’objet-non-identifié étant trop petit. Mais L’objet susnommé, accéléra dans sa chute et il prit vaguement une forme d’omelette verte.

-Ho,Ho, je sais ce que c’est, déclara le compagnon qui avait remarqué l’objet en premier.

Et oui, le pirate aussi avait compris ce que c’était. Il proposa d’ailleurs de se mettre à l’abris en reculant quelques sous les parasols du stand des « gaufres à tête de pirate » . Puis joignant le geste à la parole il alla à l’endroit cité. Quand l’objet-récemment-identifié tomba par terre dans un « Splotch », Makoiyo ne put retenir un plissement de nez: Merci l’odeur!

Au final il attendit que ses deux compagnons se décide à y aller pour les suivre.

Arrivé en premier à l’attraction Almárean commença donc à faire la queue, il y avait pas mal de monde, pourtant la soirée n’allait pas tarder à pointer le bout de son nez et normalement les gens rentraient pour se doucher et se changer, ils étaient allé vite ou bien ils étaient en retard mais dans tout les cas, l’écrivain n’attendait qu’une seule chose, monter dans cette attraction qui allait lui donner des hauts les cœurs !
Lorsque ses deux compagnons arrivèrent, Arashi proposa d’aller regarder le feu d’artifice un peu plus tard dans la soirée, à minuit tapante. Almárean en avait vu des feux d’artifices dans sa vie, malheureusement ça n’avait pas été les plus beau à regarder. La destruction du île entière par le gouvernement mondiale, une exécution pure et simple, l’île d’Ohara avait été rayé de la carte en une journée, aucuns survivants, enfin ci, une seule, une femme imprenable du nom de Nico Robin, peu être qu’un jour il pourrait la voir et discuter avec elle de son histoire pour qu’il la relate dans ses notes pour enrichir ses informations.

« Pourquoi pas, les feux d’artifices doivent être à la hauteur de la réputation de l’île ! Magnifique. »

Finalement ils arrivèrent devant la machine, un câble épais retenait la seule nacelle ou ils allaient monter tous les trois, quatre sièges étaient installés, deux par deux, dos à dos, malgré l’excitation d’Almárean pour monter dans l’engin, il se sentait un peu moins vaillant en voyant se qu’il allait lui arriver dans quelques instants mais pour faire bonne figure il restait souriant, même ci l’on pouvait voir son visage se crisper quelque peu. Il s’installa donc, se faisant harnacher comme un criminel, qu’elle ironie, il en était un ! Puis, en quelques secondes sa vision se brouilla, le temps se figea et il se retrouva la tête en bas, puis son corps en chute libre, plus aucuns contrôle sur lui-même. La sensation était énorme et Almárean criait comme un fou, montrant son plaisir et surement sa peur. Quelques minutes plus tard ils purent enfin remettre le pied à terre, pour ne pas mentir, l’écrivain tituba quelques secondes avant de prendre appui sur la barre de métal de la rambarde pour ne pas tomber, il avait la tête qui tournait dans tous les sens.
Hibari et d’autres personnes discutaient et ils se dirigèrent vers un petit snack ou les gaufres ressemblaient à des têtes de morts qui étaient constamment porté par les pirates, ceux qui avaient un équipage ou qui en faisaient partie. Sans attendre son du il s’approcha du comptoir en titubant encore une fois, les choix étaient diverses et variés, les sucreries avaient l’air très, très agréables tout comme la petite serveuse derrière le comptoir qui était en train de préparer des gaufres.

« Ca à l’air appétissant tout ça. »

Avant que la file d’attente de rétrécisse un homme dans la foule avait laissé échapper une exclamation, Shizuka n’avait pas cherché à savoir ce que cela pouvait être. Cependant, le pirate qui l’accompagnait dit à ceux qui se trouvaient autour de lui de reculer de quelques pas et de se mettre à l’abri des parasols. La demoiselle aux cheveux longs observa avec un regard interrogateur le jeune homme brun. Pour toute réponse il s’avança vers ce qui l’avait fait reculer et plissa son nez. A la vue de la chose verte, la navigatrice eu un haut le cœur et se retourna vers l’écrivain. Ce dernier ne semblait pas avoir vu ce qu’il s’était passé juste devant eux.

Voyant la bonne humeur d’Almarean, la jeune femme ne pouvait que se résigner à l’accompagner dans la navette, Hibari les avaient suivi. Elle ne se sentait pas très à l’aise, pourquoi avait-elle dit qu’elle n’avait pas de préférence pour les attractions ? Les attractions en générale ne lui faisaient pas peur, mais les sensations fortes c’était très peu pour elle, surtout si ça lui faisait remonter l’estomac. Comment faire pour se défiler à présent qu’elle se trouvait dans la navette entre Almarean et Makoiyo. Les barrières se refermaient devant eux, c’était leur dernière issue et à présent ils devaient se contenter de ne pas bouger dans la navette le temps qu’elle se stabilise et revienne sur la terre ferme. Au décollage, la demoiselle agrippa ses mains sur ses jambes et comme pour ne pas se sentir partir trop loin elle préférait sentir la douleur. Rien ne l’empêcha de sentir son estomac faire mille bonds dans son ventre, il devait aller saluer son cœur et ses poumons.

Après maintes secousses en tout sens, ils sortirent enfin de la navette et retrouvèrent le sol. La jeune femme s’accrocha à la rambarde comme Almarean. Elle avait le vertige et devait reprendre ses esprits quelques instants. Elle vit l’écrivain partir draguer la serveuse du snack.

- N’importe quoi !

-WOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!

-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!

-HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHAAAAAAAAAAAAAAAHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!

C’est en gros ce que fut le dialogue entre Almearan, Arashi et Makoiyo. Ce passage est toujours resté flou dans la tête du pirate au costume, il se souvient avoir reçus de l’encrier sur son « Goleché et Cabanon » à 800 berrys et un pied de quelqu’un dans le ventre. Ce qui n’arrangea pas son estomac qui s’amusait à faire un concours avec l’elasticator pour celui qui ferait le plus de loopings en deux minutes. Au bout de ces deux fameuses minutes, heureusement? Malheureusement ? Il n’en savait rien mais l’elasticator avait finis par gagner. La rambarde de la navette s’ouvrit et les trois compagnons sortirent. Arashi s’empêcha de vomir en s’appuyant à la barrière jouxtant les escaliers qui avait décidé eux-aussi de faire des loopings à l’impression qu’avait Makoiyo. Ce dernier préféra s’asseoir par terre en attendant que ça passe, les genoux repliés sur son ventre comme s’il faisait palissade à toutes les gaufres qu’il contenait. Sa tête était posée sur ses bras qui eux-mêmes étaient posés sur ses deux genoux. Dans un élan de courage il se décida à relever la tête et ce ne fut que pour voir un Almearan dans un état nauséeux…jusqu’à ce qu’il voie une magnifique brune avec une poitrine totalement disproportionné. Elle devait faire la moitié de son poids à elle toute seule. L’écrivain se releva d’un coup, comme s’il avait pris une décharge, et parti en courant faire travailler sa « science des rapports entre les différends sexe » comme il l’avait mentionné au détour d’un cocktail dans le fameux bar d’Omatsuri. Makoiyo grommela vaguement quelque chose comme:

-Ce mec est fou

En effet, qui peut vouloir aller près d’un endroit chargé de nourriture,d’odeur de nourriture et toutes autres choses faisant penser à la nourriture après « ça » !

Malgré tout il se força à se relever et alla le rejoindre. A distance respectueuses de toute odeur. Assis à une des tables en bois du snack, il vit Arashi le rejoindre dans un état pas plus beau que le sien. Il la vit se méfier elle aussi du snack ( « Suppôt de Satan »! ), une fois assis, ils regardaient tous les deux le courage car oui il fallait quand même du courage ou aucun odorat au choix pour faire ce que faisait « l’écrivain-pervers » à ce moment-là.

-C’est fou quand même, elle doit au moins faire du 150 G.

Et oui même s'il ne le connaissait que depuis quelques temps, l'écrivain avait déjà déteint sur lui…tandis sa confrère assise en face roulait des yeux vers le ciel.

» # 2nd Flotte de Barbe Blanche.